L’adoption simple
est soumise à des conditions plus « souples » que celles de l'adoption plénière. En effet, tout enfant peut être adopté, à condition que le consentement des personnes concernées soit recueilli. La procédure se comporte deux phases : une convention rédigée dans un premier temps par un notaire que l'avocat fera ensuite homologuer par un magistrat du Tribunal Judiciaire.
Alors que l'adoption plénière fait entrer l'enfant entièrement dans la famille de l'adoptant, ce qui le coupe de sa famille d'origine, l'adoption simple quant à elle, ne rompt pas le lien de filiation entre la famille biologique de l'enfant et l'enfant.
L'enfant adopté de façon simple à donc deux familles : la première "biologique" et la deuxième "adoptive".
Vous pouvez contacter votre avocat pour une procédure d'adoption, afin d'obtenir plus de détails sur ces procédures.